Peindre pour raconter des histoires... le motel n'était pas minable, à proprement parler. En fait il sentait tellement le temporaire, le furtif, le transitoire, qu'ils en furent génés. Dans cette chambre dont le vert pelait sur les murs comme une mue...

Jeudi 15 Novembre 2012 j'ai retrouvé mes pinceaux avec plaisir. Le silence et la solitude aussi. La biennale , comme la comète, laisse derrière elle une poussière de tâches à mener à terme mais j'ai pu me remettre au travail. Un peu déçu. Je crois aux...